Christiane Frey nous fait cadeau d'un texte riche et dans l'esprit de notre site. Un essai qu'elle a rédigé dans le cadre de son cursus menant à un Masters en psychologie. Elle y explique que la manière de voir les choses va déterminer notre flexibilité par rapport à tout événement qui va se présenter à nous. Une réflexion qui vient nourrir la devise de planet positive et de 144000.fr : "Le monde est tel que tu le regardes".
"Tout a commencé avec « Pollyanna ou le Jeu du contentement ». Je devais avoir une douzaine d’années, lorsque ma tante m’offrit ce livre d’Eleanor H. Porter . La petite Pollyanna, âgée de onze ans, fille de missionnaire, connaît une terrible déception quand le «baril du missionnaire», colis envoyé par quelques âmes charitables de la paroisse métropolitaine, lui apporte une paire de béquilles au lieu de la poupée qu’elle avait demandée. Son père la console et lui explique un nouveau jeu qui consiste à «trouver quelque chose dont on puisse se réjouir dans n’importe quelle circonstance» : « Pense à la chance que tu as de ne pas avoir besoin de ces béquilles! ». La petite fille retient le conseil et joue, et va jouer, au Jeu du contentement tout au long des péripéties de sa vie. Elle le transmet autour d’elle et essaie d’aider ainsi son entourage à affronter les difficultés avec plus d’optimisme.
Il semble évident, bien que je n’aie jamais eu l’occasion de lui en demander confirmation, que m’a tante ne pas donné à lire ce livre innocemment. Je pense que son intention était de me donner un enseignement indirect, une sorte de « mode d’emploi » pour la vie, et que cette idée était liée au fait que j’aie un handicap moteur. Elle avait vu juste.
C’est ainsi qu’arrivée à la fin du roman, ayant été si enthousiasmée de tous les changements positifs qu’avait entraîné ce Jeu du contentement, même avec des gens terriblement acariâtres comme ceux qui étaient décrits dans ce livre, je décidai sur le champ, la dernière page tournée, de jouer moi aussi, à ce jeu. Seulement voilà, ce n’était pas si simple. En effet, il ne suffit pas de trouver le versant positif du négatif, encore faut-il que cela soit pertinent avec nos propres croyances, avec notre construction perceptive du monde et de ce qui nous arrive, car il est bien difficile de se réjouir de tout en n’importe quelle circonstance. Cela demande une réorganisation cognitive complète de notre point de vue. Au début, cela m’a demandé beaucoup d’efforts (et d’erreurs), mais je crois que l’entraînement quotidien à ce jeu m’a permis de développer une imagination créative sans pareille et aujourd’hui, un bonne trentaine d’années d’exercices plus tard, c’est devenu un réflexe plus spontané, plus automatique. On définit la créativité comme la capacité à avoir une pensée divergente, c’est-à-dire la capacité de trouver plusieurs façons d’envisager une situation ou plusieurs solutions à un problème. En face des difficultés, on ne sera pas pris au dépourvu et on trouvera diverses solutions. Un enfant qui a de la créativité est un enfant qui, grâce à la pensée divergente, pourra faire face aux petits imprévus de la vie. Pour lui, les choses peuvent être faites autrement si la manière habituelle ne fonctionne pas. Il fera preuve d’imagination dans sa façon d’aborder les situations (Ferland, 2001). C’est donc aussi cette pensée divergente que le Jeu du contentement m’a « appris à apprendre »(Zarifian, 2002).
Cela ne veut pas dire que l’on n’est plus contrarié à propos de rien, mais que cette contrariété dure bien moins longtemps que s’il n’y avait pas ce réaménagement de perspective, quasi immédiat, après chaque événement qui semble négatif au premier abord. D’autre part, si ce « remodelage » constant de la perception des évènements se fait de plus en plus facilement, il touche aussi des domaines de plus en plus variés et reste, partant, un apprentissage constant. Le jeu du contentement fonctionne parce que c’est un jeu et que comme tel, il suggère un certain esprit compétitif où l’on se lance un défi à soi même pour trouver le bon côté des choses.
Je suis persuadée que toute chose, tout événement à un bon côté, un côté positif, qu’il convient de « dé-couvrir ». Facile à dire? Et pourtant... on peut entendre tous les jours : «Cela aurait pu être pire», «Compte tes bienfaits!», «Tant qu’on a la santé!», « Il vaut mieux entendre cela que d’être sourd ! ». Toutes ces expressions que nous utilisons souvent n’ont-elles pas la même signification? N’est-ce pas là une vraie sagesse qui nous dit de chercher le bon côté des choses afin de mieux faire face aux difficultés. Bien sûr, certains penseront que tout cela est bien gentil et « simplet », mais que la vie n’est pas un roman. Un autre exemple : «Quelle corvée de ramasser toutes ces feuilles à l’automne, les arbres ne sont même pas dans mon jardin!», à quoi on va pouvoir se répondre : «Je suis si contente de pouvoir admirer ces beaux arbres tous les jours!». Si nos arguments reposent sur des bases solides, il devrait être possible d’enseigner ce jeu aux personnes qui nous entourent. Malheureusement, je n’ai eu que peu de succès, ou peut-être que l’effet n’est pas instantané, et que l’idée de « jouer à ce jeu » demande une longue maturation jusqu’à percer à travers les vieilles habitudes (de réactions souvent négatives) ancrées en nous. Lorsqu’on est enfant, il est certainement vrai que c’est plus facile d’imaginer un tel changement radical de comportement, et que cet apprentissage de « rendre positif » des évènements négatifs finit par faire partie du développement intrinsèque de l’enfant. Mais les individus, comme les organisations d’ailleurs, offrent souvent une résistance globale à tout changement (Enriquez, 2000) qui risquerait d’affecter leurs petites habitudes bien confortables. Changer demande du courage, de l’audace, et surtout de la persévérance dans sa volonté de changement. Bref, c’est un « travail » parfois de longue haleine et demandant des efforts conséquents. De plus, bien jouer au Jeu du contentement, surtout au début, demande une surveillance permanente de nos pensées, une prise de conscience hic et nunc de nos réflexes de jugement par rapport à ce nous vivons à chaque instant, dans nos relations aux autres et au monde.
Si l’on se donne la peine d’analyser cette compétence (si on peut l’appeler comme telle) de pouvoir voir (et trouver) le bon côté des choses, on se rend compte que cela va bien plus loin qu’il n’y paraît. De nos jours, le marché du travail demande à chacun de se définir selon ses compétences personnelles, et non plus par rapport à son origine sociale ou à sa lignée (Mendel, 2002). C’est pourquoi il me semble que la façon de voir son activité professionnelle comme une source incessante de nouveaux apprentissages me semble primordial. D’autre part, l’autorité n’est plus ce quelle était jadis dans les entreprises, c’est-à-dire plutôt arbitraire, comme à l’époque du taylorisme, ou en tous cas ne se discutant pas, le nouveau style de management a changé radicalement : ce n’est plus le savoir-faire qui est demandé principalement à l’individu, mais le savoir-être (Mendel, 2002). Ainsi, il nous est demandé de savoir se prendre en charge bien davantage, d’apprendre à assumer la responsabilité de nos actes et de prendre des initiatives à la fois intelligentes et créatives en corrélation avec le but fixé par l’entreprise.
La manière de voir les choses va déterminer notre flexibilité par rapport à tout événement qui va se présenter à nous. On verra alors si la personne est capable ou non de faire face avec intelligence à ces évènements et si elle va savoir en tirer le meilleur parti possible. Par exemple, j’ai travaillé à un poste qui me satisfaisait et que j’aimais, mais l’entreprise qui m’employait a trouvé plus opportun de m’en attribuer un autre. J’y ai vu là, non un désagrément et la contrariété de quitter une activité qui me plaisait, mais une occasion d’apprendre de nouvelles choses, d’avoir un autre point de vue sur les activités de l’entreprise, l’occasion, aussi, de pouvoir montrer d’autres facettes de mes compétences, ainsi que la capacité à m’intégrer à un nouvel environnement. Le fait de voir le bon côté des choses m’évita certainement de penser que l’on ne m’avait déplacée que parce que je n’était pas assez bonne là où j’étais. Après tout, plus une personne apprend à confronter de nouvelles situations avec succès, plus elle sera à même de développer ses capacités (Zarifian, 2002).
Extrait du livre de J. DEWEY "L'Immortel" Tome 1 à 4 (Editions Hélios) Transmis par Jean-Marc
Le Cantique des 144000
Nous te remercions Père, de nous avoir révélé Ta lumière protectrice universelle. Puissions-nous dans cette lumière être totalement protégés de toute force destructrice. Que le Saint Esprit de Ta présence nous imprègne de cette lumière Et qu’elle descende partout où nous le désirerons.
Nous te remercions Père, de nous emplir de Tes feux d’Amour protecteur Puissions-nous dans cet amour être totalement protégés des pensées et des émotions destructrices. Que la conscience du Christ s’élève en nous dans cet amour Et puisse-t-il brûler de tous ses feux partout où nous le désirerons.
Nous te remercions Père, d’être en nous comme nous sommes en Toi. Que Ta volonté, à travers nous, parvienne sur des ailes de pouvoir. Qu’elle s’accomplisse sur la Terre comme au Ciel. Puissent Ta Lumière, Ton Amour et Ton Pouvoir se manifester à travers nous tous, Fils et Filles de l’humanité
Témoignage d'un enfant de la Terre
Écrit par Administrateur
11-02-2007
Rêvespoir d'un enfant, semblable aux autres, petits et grands, de cette Terre. Semblable et différent, offrant son-message, un partage, une prière, Nous priant de r'éveiller notre dormeur pour cette Terre. Demandant 144000 motivés et volons-Terre Pour expérimenter un quantique bon(d), chant "planète-Terre". Et se retrouver près de la Médite-Terre-année après année, Jusqu'à faire que ce qui a été rèvé soit créé, et que ce qui a été créé soit vrai et very-fié (fié veut dire "ici" en évé). 144000 sentinels du ciel, actarus, zorro, 007, et leur alliés, Pour aussi dire d'autres versions de la Vérité. Car c'est l'Argent qui est fou, pas vivant et pas vrai ! Ce n'est pas nous ! Et si nous ne le changeons pas, il peut tous nous "tu-es..." !
Quand S prie, S père ? ou S est ? S-Eve Ré* ? S si C-TV Ré... "ça" , le Feu, Ré ? Musique Ma S tre mots!
* Ré, 2ième note, veut dire "de-nouveau".
Si vous voulez en savoir plus sur le Projet, mieux connaitre l'initiateur, vous pouvez visionner le petit film ci dessous, la durée est d'environ 45 mn. Pour des raisons techniques et liées à la transmission des données sur internet le film est découpé en trois parties de 15 mn chacune environ. Une connexion internet haut débit est vivement conseillé pour la lecture.
Pour accéder cliquez sur lire la suite, soyez patient...
Pour écouter l'Intégralité de la rencontre au format audio MP3 (sans les images) Cliquez ICI
Pour ceux qui le souhaitent et qui utilisent le logiciel Emule vous pouvez télécharger ce film, en une seule partie, qualité DVD en cliquant sur le lien ci dessous.
Texte & musique s’allient pour nous transmettre un message sur l’histoire de l’humanité, le rôle de l’Homme sur Terre et son rôle à chaque instant. C’est un message qui s’adresse au coeur et qui appelle l’Homme à se réveiller. Il convie chacun à vivre, ici et maintenant.
Pour écouter ces morceaux de musique cliquez sur lire la suite
Lettre ouverte aux Peuples de France et de la Terre
Écrit par Administrateur
03-02-2007
Texte reçu sur notre site
Vous voulez les misérables secourus. Je veux la misère supprimée.
Victor Hugo
Madame, Monsieur,
Nous préparons dans les semaines et les mois à venir l’avenir de la France. Par les Elections Présidentielles.
Par là, j’ai la prétention de croire que nous préparons l’avenir du Monde. Et c’est le Monde, la Planète entière, qui est concernée par ces Elections. Je ne crois pas qu’il puisse s’agir là d’une prétention surfaite, mais d’une simple réalité. Je ne vais pas vous raconter l’histoire de la France pour appuyer mes propos.
Nous pouvons donc voir des candidats mis en avant pour conduire cette destinée.
Quelle destinée ? N’est-ce pas LA question que tout un chacun se pose ?
Il me semble que nous avons aujourd’hui le choix entre deux possibilités :
Soit nous restons dans un jeu de pouvoir. Ce pouvoir connaît trois outils : la peur, la division et l’assistance. Ce à quoi travaillent tous les jours nos médias. Dans ce jeu, tous les gouvernements du monde ne sont que des marionnettes manipulées par les grandes puissances multinationales, qui n’ont, elles, d’autre politique que le profit. Sans aucun égard, que du contraire, pour l’humain.
Soit nous cherchons une autre conscience. Une conscience qui parle de la grandeur de l’humain.
Vous me répondrez naïveté et utopie... Certes !
Mais, s’il était possible de vivre autrement ?
S’il était possible qu’un candidat aux Elections Présidentielles puisse offrir autre chose ?
Cette « autre chose », vous n’allez probablement pas la découvrir du jour au lendemain.
Mais cette conscience fleurit pourtant, de plus en plus rapidement. Une conscience évoquée par des gens tels que Nicolas Hulot, Pierre Rhabbi, José Bové… Des gens qui parlent de La Terre. Mais, avec tout le respect que je dois à ces gens hors du commun qui font un travail extraordinaire, sont-ils bien les plus aptes à diriger un pays ?
Et puis, je pense que ce n’est pas le respect de l’environnement qui amènera la grandeur de l’humain, mais bien au contraire cette nouvelle conscience de sa grandeur qui mènera l’humain au respect aimant de sa planète.
Vous avez donc, Madame, Monsieur, deux possibilités :
Soit vous considérez ce courrier pour tissu de balivernes, et vous l’oubliez.
Soit vous vous posez une simple question : « Et si c’était vrai ? »
Je dois vous avouer que je travaille personnellement depuis treize années pour réaliser le vœu de Coluche : faire en sorte que les Restos du Cœur ne soient plus nécessaires.
Ainsi, si je vous dis que vous avez cet avenir possible entre vos mains aujourd’hui, il ne s’agit pas de propos arbitraires, mais d’un point de vue issu d’un long et difficile parcours.
Qu’allons-nous voir maintenant ?
Partout, en France, en Europe, mais aussi tout autour de la Terre, des gens qui vont former des caravanes. Des Marches. Des évènements inimaginables. Des initiatives, pour conduire à la conscience d’un autre possible.
Quel est cet autre possible ?
- L’abolition du pouvoir : la responsabilité que je décide de prendre aujourd’hui est une capacité de répondre et de servir. Et non de dominé ou d’accaparer. - Le respect des droits de l’Homme et du Citoyen dans une consciencehumaine de l’importance de chacun. - Par la compréhension des valeurs humaines fondamentales, amener au respect aimant de la nature et de la vie. - Une éducation basée sur l’exemple. - Le développement d’une énergie libre et gratuite pour chacun, qui ouvrira à un nouvel essor, sans précédent dans l’histoire de cette humanité. - Une vie saine et heureuse en harmonie avec ses voisins et son environnement. - Sortir du système du gaspillage, où perte égale profit, pour une meilleure distribution des richesses. - Une agriculture symbiotique, où la complémentarité des productions dans des petites structures permet d’obtenir plus de produits, une alimentation saine, pour une vie en harmonie avec la nature. - Une écoute, sans obligation de contrepartie ou d’adhésion.
Comment ceci pourrait-il être possible ?
Mon expérience est d’avoir été là. Simplement présent. De voir les besoins demandant réponse et de faire en sorte de répondre à ces besoins. Sans aucun besoin de reconnaissance ou de mérite à tirer de cette réponse.
Je n’ai certainement pas la prétention de conduire les destinées d’un pays, je n’en ai pas les compétences. Mais conduire les destinées des Peuples de ce Pays, oui, je peux le faire.
Et je serai entouré des personnes disposant des plus hautes compétences, chacune dans leur domaine, pour conduire aux destinées du Pays.
Ce sera la première fois, dans toute l’histoire de la Terre, que tout les Peuples de la Planète se mobiliseront pour conduire une personne à la Présidence d’un Pays.
Parce que ce Pays conduira à la mobilisation de toute la Planète. Pour un avenir, non pas meilleur, mais merveilleux, dans la paix et l’amour entre chacun.
Merci d’Etre,
Pierre
L'Arc-en-ciel
Écrit par Administrateur
03-02-2007
Le Thème de l’Arc-en-Ciel est présent dans de nombreuses traditions et symbolise à chaque fois le même thème.
- Chez les Dogons du Mali, le Nommo die (« le grand Nommo »), génie de la création, se déplace grâce à l’arc-en-ciel nommé Nommo sizu (« le chemin du Nommo »).
- Chez les Pygmées de la forête équatoriale, le tout premier moyen que Dieu utilisa pour se transporter auprès des Hommes est l’arc-en-ciel Khwa (ou Wango en Sandeh).
- Au Japon, le dieu Izangi et la déesse Izanami, issus de la septième génération des dieux célestes, descendirent du ciel vers la Terre à l’aide de l’arc-en-ciel.
- Dans l’Edda, la mythologie scandinave, les dieux jetèrent un pont pour unir la Terre et le ciel. Ce pont est l’arc-en-ciel Bifrost ou Baefroest. Selon ces mêmes traditions, les dieux nordiques nommés Ases, descendaient du ciel sur la Terre en bandes bariolées de différentes couleurs de l’arc en ciel. Pour cette raison, l’arc en ciel a été appelé le pont des Ases.
- En Colombie, d’anciennes traditions prétendent que le dieu Bochica apparut aux habitants de la ville de Soacha à califourchon sur un arc-en-ciel.
- Chez les Aborigènes d’Australie, le Grand Serpent du ciel et des hautes sphères de l’univers se nomme Ularu « Le Serpent Arc-en-ciel ». Il porte ce nom car ses déplacements dans le ciel se manifestent toujours grâce à l’arc-en-ciel. Le Serpent Arc-en-ciel appartient à la mythologie de tous les groupes aborigènes du continent australien.
- La Bible mentionne clairement, elle aussi, le rôle de l’arc-en-ciel en Genèse 9.13 où il est dit : « Je (Yahvé) place mon arc-en-ciel dans la nuée et il deviendra un signe d’alliance entre moi et la Terre ». Pour finir, notons que le terme sumérien utilisé pour nommer un arc-en-ciel est Tiranna. Ce mot n’est pas sans rappeler les Diranna (portes stellaires) …."
- Arc-en-Ciel est aujourd'hui le nom donné à la nouvelle Famille Humaine, consciente, respectueuse et libre. Eclaireurs d'Amour de la tribu Humanité.