Texte reçu sur notre site Vous voulez les misérables secourus. Je veux la misère supprimée.
Victor Hugo
Madame, Monsieur,
Nous préparons dans les semaines et les mois à venir l’avenir de la France. Par les Elections Présidentielles.
Par là, j’ai la prétention de croire que nous préparons l’avenir du Monde. Et c’est le Monde, la Planète entière, qui est concernée par ces Elections. Je ne crois pas qu’il puisse s’agir là d’une prétention surfaite, mais d’une simple réalité. Je ne vais pas vous raconter l’histoire de la France pour appuyer mes propos.
Nous pouvons donc voir des candidats mis en avant pour conduire cette destinée.
Quelle destinée ? N’est-ce pas LA question que tout un chacun se pose ?
Il me semble que nous avons aujourd’hui le choix entre deux possibilités :
Soit nous restons dans un jeu de pouvoir. Ce pouvoir connaît trois outils : la peur, la division et l’assistance. Ce à quoi travaillent tous les jours nos médias. Dans ce jeu, tous les gouvernements du monde ne sont que des marionnettes manipulées par les grandes puissances multinationales, qui n’ont, elles, d’autre politique que le profit. Sans aucun égard, que du contraire, pour l’humain.
Soit nous cherchons une autre conscience. Une conscience qui parle de la grandeur de l’humain.
Vous me répondrez naïveté et utopie... Certes !
Mais, s’il était possible de vivre autrement ?
S’il était possible qu’un candidat aux Elections Présidentielles puisse offrir autre chose ?
Cette « autre chose », vous n’allez probablement pas la découvrir du jour au lendemain.
Mais cette conscience fleurit pourtant, de plus en plus rapidement. Une conscience évoquée par des gens tels que Nicolas Hulot, Pierre Rhabbi, José Bové… Des gens qui parlent de La Terre. Mais, avec tout le respect que je dois à ces gens hors du commun qui font un travail extraordinaire, sont-ils bien les plus aptes à diriger un pays ?
Et puis, je pense que ce n’est pas le respect de l’environnement qui amènera la grandeur de l’humain, mais bien au contraire cette nouvelle conscience de sa grandeur qui mènera l’humain au respect aimant de sa planète.
Vous avez donc, Madame, Monsieur, deux possibilités :
Soit vous considérez ce courrier pour tissu de balivernes, et vous l’oubliez.
Soit vous vous posez une simple question : « Et si c’était vrai ? »
Je dois vous avouer que je travaille personnellement depuis treize années pour réaliser le vœu de Coluche : faire en sorte que les Restos du Cœur ne soient plus nécessaires.
Ainsi, si je vous dis que vous avez cet avenir possible entre vos mains aujourd’hui, il ne s’agit pas de propos arbitraires, mais d’un point de vue issu d’un long et difficile parcours.
Qu’allons-nous voir maintenant ?
Partout, en France, en Europe, mais aussi tout autour de la Terre, des gens qui vont former des caravanes. Des Marches. Des évènements inimaginables. Des initiatives, pour conduire à la conscience d’un autre possible.
Quel est cet autre possible ?
- L’abolition du pouvoir : la responsabilité que je décide de prendre aujourd’hui est une capacité de répondre et de servir. Et non de dominé ou d’accaparer. - Le respect des droits de l’Homme et du Citoyen dans une consciencehumaine de l’importance de chacun. - Par la compréhension des valeurs humaines fondamentales, amener au respect aimant de la nature et de la vie. - Une éducation basée sur l’exemple. - Le développement d’une énergie libre et gratuite pour chacun, qui ouvrira à un nouvel essor, sans précédent dans l’histoire de cette humanité. - Une vie saine et heureuse en harmonie avec ses voisins et son environnement. - Sortir du système du gaspillage, où perte égale profit, pour une meilleure distribution des richesses. - Une agriculture symbiotique, où la complémentarité des productions dans des petites structures permet d’obtenir plus de produits, une alimentation saine, pour une vie en harmonie avec la nature. - Une écoute, sans obligation de contrepartie ou d’adhésion.
Comment ceci pourrait-il être possible ?
Mon expérience est d’avoir été là. Simplement présent. De voir les besoins demandant réponse et de faire en sorte de répondre à ces besoins. Sans aucun besoin de reconnaissance ou de mérite à tirer de cette réponse.
Je n’ai certainement pas la prétention de conduire les destinées d’un pays, je n’en ai pas les compétences. Mais conduire les destinées des Peuples de ce Pays, oui, je peux le faire.
Et je serai entouré des personnes disposant des plus hautes compétences, chacune dans leur domaine, pour conduire aux destinées du Pays.
Ce sera la première fois, dans toute l’histoire de la Terre, que tout les Peuples de la Planète se mobiliseront pour conduire une personne à la Présidence d’un Pays.
Parce que ce Pays conduira à la mobilisation de toute la Planète. Pour un avenir, non pas meilleur, mais merveilleux, dans la paix et l’amour entre chacun.
Merci d’Etre,
Pierre
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